Nous plions bagage pour le sud. Suivez-nous ! Notre maison roulante s’engage sur l’autoroute avec un large sourire. Et oui, un discret flash au télépéage et son numéro apparaît sur le ticket qui sort de l’appareil. Au fil du ruban asphalté, nous rencontrons tour à tour, quelques piétons, des boîtes à images juchés sur des poteaux, des ânes et moutons conduits par le paysan jusqu’à la pâture, des chameaux (ah non, des dromadaires avec une seule bosse sur le dos), des troupeaux de moutons ou de vaches surveillés par la fermière, la gendarmerie royale au poste de péage, des engins de chantier, quelques voitures (tiens donc ! le dernier millésime de ce constructeur automobile : une Peugeot 309). Il est vrai que l’autoroute n’est pas très fréquentée. Au loin, les cheminées des zones industrielles laissent échapper des fumées blanches. 230 km et le panneau annonce la sortie vers Oualidia, petite station balnéaire que nous avons choisi comme étape.
La gendarmerie royale veuille au grain.
Le ticket de péage avec l'immatriculation du véhicule.
La boîte à images.
Un piéton sur l'autoroute.
On se raconte les potins du village sur le bas-côté.
Le gardien et ses moutons.
Quelques ruches.
Les cheminées de la zone industrielle au loin.
Quelques villages.
Le linge étendu au soleil.
La fermière et sa vache.
L'énergie solaire.
L'autoroute en travaux.
Voilà la sortie.
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