Icht, village au ruelles souterraines est à une quarantaine de kilomètres de la frontière algérienne. Nous prenons notre bicyclette et suivons la piste de la palmeraie menant à la vieille cité. Nous parcourons les rues quasiment désertes et nous engouffrons dans les passages souterrains. C’est le noir et la lampe de notre portable est d’un grand secours. De temps à autres, des puits de lumière apportent l’éclairage salvateur. Impossible de savoir ce qui se cache derrière les portes de bois. En entrevoyant le jour par l’une d’entre elles, nous découvrons un cheval blanc cloîtré dans une courette et figé comme une statue.
Un cycliste égaré ?
L'entrée dans le village souterrain.
Un puits de lumière.
Le cheval figé comme une statue.
De grosses portes colorées en ferraille.
Au
retour, nous déambulons dans l’oasis où règne un calme absolu.
Seul le ruissellement de l’eau dans les canalisations et le chant
des oiseaux viennent rompre le silence. Les troncs de palmiers morts
sont éparpillés dans l’oued à sec.
Les plaques métalliques partagent l'eau dans les canalisations.
Au fond de l'oued, les troncs de palmiers.
Mais ..... vous avez mis un grand coup d'accélérateur me semble-t-il ! je vous suis avec le plan à côté. Effectivement, à part le village souterrain , la route à l'air désespérément longue et sans trop d'attrait mais on attend la suite. Vers TATA , Bonjour de Bretagne où lundi soir est apparue un aurore boréale. bonne route et merci pour ce reportage !
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