C’est avec un petit regret que nous quittons le bord de mer et reprenons notre progression vers le sud. Sur le bas côté, un camion récolte les bidons de lait que les paysans ont déposés sur le bord de la route. Les cultures sont irritées par l’oued Massa qui se jette près de Sidi Wassay.
Le pot en attente de la collecte..
Le camion de ramassage.
Les cultures.
Il est déjà 9H15, les enfants et les collégiens se pressent vers les écoles de la ville de Massa. 1/3 de la population a moins de 18 ans. Beaucoup de familles inscrivent leurs enfants dans le privé, l’enseignement public n’ayant pas bonne presse. En milieu rural, par manque de structures, les enfants sont scolarisés à mi temps.
Nous devons être très vigilants sur la route. En effet, les panneaux de limitation de vitesse se succèdent à la vitesse grand V, de 100, nous arrivons à 80 puis 60 avant de repartir dans l’autre sens, faisant du yo-yo. Le danger est très grand de rencontrer la gendarmerie royale relevant la vitesse à la jumelle. Les amendes sont courantes et il est inutile de discuter. Cela coûtera 150 dh, très cher pour les gens d’ici. Un moindre mal pour le touriste français mais cela fera 15€ tout de même, payable sur le champ. Le reçu sera signé par le gendarme et ses acolytes. Ici, tout se fait dans les règles de l’art.
Nous arrivons sans encombre à Tiznit, à une centaine de kilomètres d’Agadir. Le temps s’est un peu rafraîchit. La pluie et un peu de vent sont annoncés pour le lendemain. Ce soir, le ciel a pris une couleur rouge-orangée au coucher du soleil.
Les lampadaires très contemporains.
L'entrée dans la province de Tiznit.
Ça fume........ juste un petit chouïa.
Un ciel tout rouge.
Toujours de belles photos pour rêver, bonne continuation, amitiés Chantal
RépondreSupprimerBonne description de la route
RépondreSupprimersur certaines routes (vue ta photo) on se croirait dans le film "Bagdad Café" ! bien vu ! on vous suit
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