Vendredi, nous reprenons la route avec un arrêt à la station pour alimenter notre chameau. Et oui, il faut bien. Le compteur défile pour attendre les 1 100 €. Il y a erreur, monsieur le pompiste ! Pas du tout, il faut raisonner en dirhams et décaler la virgule d’un rang, soit 110 €. Le GO coûte 13,99 dh et le sans plomb 14,39. C'est très cher pour les Marocains.
C’est parti. La route est assez belle et tantôt des travaux de réfection sont en cours. Le paysage défile, les cultures, oliviers et arganiers se succèdent. Puis nous rentrons dans une région de collines avant de retrouver la côte. De temps en temps, la route principale traverse les souks des villages et nous devons nous frayer un passage entre les stands , les ânes attelés aux carrioles et les camions. Sur le bas-côté, certains attendent le bus ou d’autres rentrent avec leurs énormes chargements, de quoi alimenter la semaine.
Un petit souvenir du Maroc à ramener dans nos bagages.
De quand date le dernier contrôle ?
La sortie des cours.
Les tajines devant le restaurant.
C'est vendredi, les moutons vont aussi à la mosquée.
Reportage fourni et typique de l'esprit maroc.bravo
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