Et oui, la pose est terminée. Reprenons notre dromadaire pour continuer dans le désert. C'est toujours une longue bande de bitume posée sur un sol désertique qui nous dirige sur Zagora. Il semblerait qu’il y ait davantage de chèvres et de dromadaires que de personnes sur notre chemin. Dans l’oasis de Foum Zig, les palmiers souffrent de la sécheresse. Il fait déjà 24° à 11H. Nous devons nous méfier des plaques de sable présentes sur la route où nous pourrions nous enliser. Quelques cultures annoncent l’arrivée imminente dans l’oasis de Zagora, notre étape pour quelques jours.
Toujours des sacs en plastiques éparpillés dans la nature.
Pas une goutte d'eau dans l'oued.
Le pont a été emporté par les eaux.
Un vague souvenir des récentes pluies.
je n'ai pas compris immédiatement les sacs plastique dans le paysage désertique. j'ai pensé que c'était des floraison de printemps !!!!!!! anyzette
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